« Bâtir sur le roc » est une narration utilisant la technique du Kamishibaï (dire ka-mi-shi-baï). Ce mot japonais pourrait être traduit par « théâtre de papier ».
Les images sont imprimées de façon à ce que les spectateurs voient l’image présentée au recto et le conteur peut lire le texte imprimé au verso. Le glissement des images est facilité lorsqu’elles sont présentées dans un castelet (ou « butaï « ). Cliquer ici pour découvrir la fiche de fabrication du castelet et tous les récits disponibles au téléchargement.
- Vidéo (1 mn 25′) pour donner un aperçu
- Méditation biblique à partir des images du Kamishibaï : cliquer ici
- Fabriquer soi-même le kamishibaï en téléchargeant le fichier et en le coloriant. Le papier est au format A4 (pour utiliser l’imprimante) et propose l’utilisation des peintures – mais toutes les formes de créativité sont possibles. Petits et grands peuvent être associés à cette création qui nécessite peu de matériel.
- Matériel : imprimante (7 feuilles de papier pour une impression recto-verso ou 14 feuilles pour recto simple. Si le papier est épais, c’est encore mieux) + peintures + pinceaux + eau + colle + 7 feuilles de papier épais (facultatif). On peut bien sûr dessiner soi-même, sans être obligé d’imprimer. Dans ce cas, veiller à respecter une marge de 3 cm de chaque bord de la feuille.
- Première étape : imprimer (en recto-verso si possible) toutes les planches de dessins en noir et blanc disponibles ici Matthieu 7 : Bâtir sur le roc
- Deuxième étape : mettre en couleurs les dessins ; toutes les techniques sont possibles : crayons, feutres, gouaches, aquarelles, crayons gras, pastels, papiers déchirés-collés…
- Troisième étape : si les feuilles n’ont pas été imprimées en recto-verso, c’est le moment les coller sur du papier épais. Le recto de chaque planche est soit un titre, soit un dessin et le verso, le texte.
- Quatrième étape : glisser les planches dans le bon ordre, dans le butaï (pour voir la fiche technique, cliquer ici)… s’entraîner en face d’un miroir (pour voir les images) et une fois que l’on se sent prêt : inviter au « spectacle » !
Crédit : Laurence Gangloff (UEPAL) – Point KT