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Le secret du pin parasol

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L’arbre du jardin de grand-père sait raconter des histoires du temps passé pour peu qu’on colle son oreille sur son écorce. Et cette histoire, c’est celle de gens qui se réunissaient autrefois dans la maison pour prier et chanter Dieu à leur manière, en des temps où c’était interdit. Une animation à partir d’une histoire de « Tu diras à tes enfants » page 20 le secret du pin parasol

Durée : 1 heure

Matériel

  • Coin conte avec coussins, butaï (kamishibaï), et illustrations noir et blanc cliquer ici pour  Visualiser les illustrations à colorier  pour le kamishibaï, illustrations que l’on a pris soin d’agrandir au format A3 légèrement coupé de manière à l’adapter au format des kamishibaï (37X27,5), puis de les coller sur un carton pas trop épais mais rigide.
  • Table avec des crayons de couleurs

Démarche

  • Accueil et chant
  • On s’installe sur les coussins du coin conte. L’animateur prend son butaï (kamishibaï). Il a disposé dans l’ordre les illustrations en noir et blanc (en nombre au moins égal à celui des enfants, vous verrez ensuite pourquoi). L’animateur raconte l’histoire « Le secret du pin parasol » avec ses propres mots.
  • Questions éventuelles des enfants.
  • On s’installe autour de la table. L’animateur donne les illustrations du butaï (kamishibaï), à colorier (s’il y a plus d’enfants que d’illustrations, prévoir des copies de certaines illustrations).
  • Puis on retourne au coin conte en replaçant dans l’ordre les illustrations coloriées par les enfants (y compris les doubles éventuels).
  • Cette fois-ci, ce sont les enfants qui racontent à nouveau l’histoire avec leurs propres mots, l’animateur manipulant le butaï (kamishibaï),  en n’oubliant pas les éventuels doubles.
  • Chant et séparation. Chaque enfant repart avec l’illustration le secret du pin parasol – coloriage et qu’il peaufinera éventuellement chez lui.
  • On pourra prolonger cette démarche par une sortie en forêt, dans un bois ou dans un jardin public où l’on pourra faire faire la même expérience que Nicolas : coller son oreille contre le tronc d’un arbre et écouter, sentir, toucher puis récolter des objets donnés par l’arbre : écorce, feuille, branchage…

Crédit : Richard Gossin – Claude Demissy (UEPAL) Point KT