La Cène du Christ et l’art contemporain
La Cène ne laisse pas indifférent. De nombreux artistes contemporains la représentent et lui donnent un sens original, entre invention et subversion. Martine Grenier, historienne d’art contemporain nous présente ici trois œuvres : La Cène de Bernard Buffet (1928-1999) ; Le dernier repas, de Simon Patterson (1967) ; Le dernier repas, par Andy Warhol (1928-1987).
La Cène de Bernard Buffet, … Lire la suite
Olivier Bauer, Pasteur réformé et docteur en théologie, ancien chargé de cours à l’université de Lausanne, a été en charge de l’Église protestante francophone de Washington, DC, après avoir été aumônier scolaire pendant six ans à Tahiti. Il est l’auteur du Protestantisme à table ou les plaisirs de la foi (Labor et Fides, Genève, 2000.
Manger et boire : deux actes fondamentaux de l’existence humaine au travers desquels se jouent la vie et la mort de l’individu, non seulement sur un plan physique mais également sur un plan psychologique. L’être humain traduit quelque chose de sa compréhension de lui-même et du monde dans le rapport qu’il entretient à la nourriture (ainsi le boulimique ou l’anorexique)… …
Il nous arrive plus souvent d’utiliser un support visuel pour une séance de catéchisme, une animation d’enfants, une célébration. Voici quelques clés de lecture pour entrer dans un tableau. Elles ne sont pas exhaustives, mais permettent d’avancer, de se promener, d’être attentif tant à l’ensemble qu’au détail, et pourquoi pas, oser un pas plus loin : interpréter et utiliser l’image …
Manger est bien plus qu’un geste quotidien dicté par la nécessité de se nourrir. En témoignent les nombreuses émissions télévisées, le succès des livres, des cours, des blogs, des applications consacrés à la cuisine.
« Bienheureuse la famille dont Jésus est l’hôte ordinaire ! Lui présent, les convives indésirables s’en vont : égoïsme, dispute, mauvaise humeur » (Paul Doumergue).
La fête de l’Ascension est de toutes celles de notre calendrier la moins célébrée chez les protestants, plus particulièrement réformés. Plusieurs paroisses la suppriment purement et simplement. La principale raison de cette désaffection est à trouver dans le caractère mythologique d’un événement qui, il est vrai, n’occupe pas une place importante dans les textes évangéliques. Comment peut-on croire en effet …
Cette expression provient de l’usage des moines ou des personnes très pieuses qui, au moment du Carême, ne mangeaient que du pain et ne buvait que de l’eau pour se mortifier, pour faire pénitence.
