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- Rosh Hashana
| Pour découvrir la signification, la spiritualité de la fête juive de Rosh Hashana, ses racines bibliques. Et réfléchir à la manière dont nous, chrétiens, vivons les éléments de sens qui y sont présents. |
- Pas artiste, mais créateur ?
| Créer, être créateur, est-ce seulement possible pour ces enfants à qui tout manque ? Quand il n'y a ni parole, ni capacité de se mouvoir et que l'intelligence est déficitaire, la question se pose à tout catéchète face au public. |
- Dire merci
![]() | On apprend aux enfants à dire merci, c’est une règle élémentaire de politesse. Dire merci devient si automatique qu’on en oublie presque le sens. Et si un enfant faisait de la résistance, refusait de dire merci et nous invitait ainsi à réfléchir à ce que le mot veut dire, à ce que signifie être reconnaissant (en particulier reconnaissant à Dieu)… C’est le sens de cette célébration intergénérationnelle à l’occasion de la fête d’action de grâce pour les récoltes. |
- Du tohu-bohu à la coccinelle – module 12 : Le repos de Dieu
| « Ainsi le ciel, la terre et tout ce qu'il y a dedans sont terminés. Le septième jour, Dieu a terminé le travail qu'il a fait. Et le septième jour Il se repose de tout le travail qu'il a fait. Dieu bénit le septième jour : Il a fait de ce jour là un jour qui lui est réservé. En effet, ce jour là, Dieu s'est reposé de tout son travail de Créateur. Voilà comment Dieu a créé le ciel et le terre. » (Genèse 2, 1 4) |
- Du tohu-bohu à la coccinelle – module 11 : Les enfants différents de nous
| Cette séance est une des plus délicates à mener mais elle est très importante dans le déroulement de la démarche. On pourrait même dire qu'elle lui donne tout son sens. Elle permet de faire réfléchir les enfants sur des notions de norme et de différence, et de les éduquer à accepter les autres qui ne sont pas comme nous, de leur faire découvrir même les richesses que recèlent les handicaps. |
La démarche est la suivante : on raconte l'histoire de Mina la fourmi en prenant le temps de s'arrêter sur les images, de les décrire. On laissera aux enfants le temps de dire ce qu'ils ressentent, s'ils ont connu des situations analogues. Les enfants passeront facilement de l'histoire de Mina la fourmi, à leur propre expérience. Tous ont vu, connu des enfants ou des adultes handicapés : amie d'école à la jambe cassée, enfant handicapé moteur inséré dans la classe, ou vieille mamie en fauteuil roulant à cause de son grand âge : ils connaissent des handicapés. Avec eux, on découvrira qu'il y a des handicaps provisoires et des handicaps définitifs.
Matériel:
- Papier canson de couleurs différentes pour laisser le choix,
- gouaches et gros pinceaux,
- musique contemporaine (Exemple Bartok ou Dvorak), lecteur CD
On laissera dire tout sur cette difficile question, même si les enfants émettent des jugements intempestifs qui expriment au fond leur angoisse du handicap. Ce n'est que peu à peu au cours de la séance qu'on les ouvrira à une plus grande acceptation des différences...
Déroulement
Accueil: on privilégie toujours les deux lieux d'animation, soit un lieu sur une grande couverture, à la fois plus intime et plus convivial et un lieu plus propice à la réalisation pratique, par exemple une table pour dessiner, découper etc.…
Première partie :
Lieu : sur la couverture, assis confortablement par terre. C’est le lieu privilégié de la narration.
Lecture de l'histoire de Mina la fourmi, Flammarion Père Castor, 1990.
« Mina n'est pas une fourmi comme les autres, elle est née avec cinq pattes au lieu de six.
Dans la fourmilière, elle propose ses services aux uns et aux autres.
Les fourmis ouvrières la plaignent mais ne veulent pas l'employer La reine pondeuse la chasse de la maternité.
Mina retrouve son courage en remontant
À la surface. Elle admire la nature et tout le monde des insectes au travail.
Sa résolution est prise : elle proposera ses services ; elle sera spécialiste des handicapées. Elle seule pourra les comprendre, elle leur expliquera qu'en dedans elles sont tout à fait comme les autres.
Son projet est accepté par les fourmis. Mina est heureuse. »
Cette histoire plait beaucoup aux enfants qui se mettent alors tout naturellement à parler des handicaps qu'ils connaissent.
Temps de parole :
« J'ai un copain handicapé. Il a la jambe tordue comme ça ; il peut plus la tourner. Y court comme ça, il marche comme ça, il saute comme ça. Il s'appelle Marc. Il était déjà comme ça à la maternelle. Il y a des imbéciles qui se moquent de lui, c'est triste. »
« Ma mémé a une chaise roulante, une chaise avec deux roues. Parfois, elle prend ses béquilles. »
« A l'école, il y a une grande fille aux cheveux blonds qui s'est cassé le pied. Elle est revenue de l'hôpital. Ses copines jouent avec sa béquille. Elles disent qu'elles ont trois pieds. »
« Le professeur Tournesol aussi est handicapé. Il est sourd depuis longtemps, mais il fait quand même des choses. »
« C'est triste d'être handicapé. On peut être handicapé dans son corps, ne pas entendre, ne pas voir ne pas pouvoir marcher ou parler. »
« On peut être handicapé dans sa tête lorsqu'on ne comprend pas bien les choses ou lorsqu'on les oublie très vite. »
« On peut être handicapé dans son cœur lorsqu'on n'aime pas les autres, lorsqu'on fait du mal. »
« Dieu nous dit d'aimer les plus faibles. Il prend particulièrement soin des fragiles, des petits. »
« Nous avons tous besoin des autres, nous avons tous besoin d'aimer et d'être aimés. »
Deuxième partie : Expression, Réalisation
Lieu : un lieu adapté à la peinture, .table ou sol. .on pourra être libre dans ce choix étant donné que c’est un temps de création très personnel avec une inspiration musicale
Les enfants sont invités à dessiner en silence ou en écoutant un extrait musical (Bartok).
Les enfants auront à leur disposition des feuilles de Canson coupées en carré et de couleurs différentes, des gouaches en pot, de gros pinceaux. La peinture sera libre.
Une joie de vivre réelle s'est exprimée à travers les peintures: enfants dans la nature jouant au milieu des fleurs, cheval dans un pré, peinture abstraite très colorée.
C'était un grand MERCI à Dieu.
Prière :
Dieu, notre Père, avec Toi,
Je pense aux handicapés et je suis émerveillé.
Il y a des handicapés qui donnent du courage à ceux qui n'en ont plus.
Il y a des gens qui prient avec confiance malgré leurs souffrances.
Notre Père, avec Toi, je suis émerveille.
Il y a des handicapés qui ne se plaignent pas.
D'autres savent offrir un sourire,
Un merci même quand ils sont très fatigués.
Je te remercie pour tant de courage, de gentillesse et de joies partagées.
Amen.
Adaptation de « Je suis émerveillé » de Françoise Destang, dans « Aujourd’hui prions le Seigneur »
- Pourquoi pas ?
| Par divers éclairages sur la mondialisation, voici des pistes de réflexion et des outils pour le partage en église, avec les jeunes et les moins jeunes autour de la confession de foi de l'Alliance Réformée Mondiale (ARM), présentée dans la Déclaration d'Accra: "Alliance pour la justice économique et écologique". |
- Ittuq, Noé, Saanan : trois contes sur le développement durable
| Ce livre de contes pour enfants, avec un CD et des activités pédagogiques finement pensées nous offre trois histoires joliment illustrées qui amènent la problématique du développement durable, par le biais de la prise de conscience écologique. |
- Du tohu-bohu à la coccinelle – module 10 : Remplissez la terre !
| Genèse 1, 28 « Puis, Il les bénit en disant: Ayez des enfants, devenez nombreux. Remplissez la terre et dominez la. » |
- Se réjouir de la diversité
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| Célébration intergénérationnelle Si l’on regarde avec attention autour de soi, on peut constater à quel point la nature et l’humanité sont riches de différences et de diversité, encore faut-il regarder avec attention et se réjouir plutôt qu’être indifférent ou (pire) être effrayé par ce qui est différent. Ce culte est l’occasion de s’arrêter dans la course effrénée de notre monde vers l’uniformisation, pour rendre grâce pour les beautés si diverses de la Création. |
Thème (période liturgique) : fête des récoltes mais peut être facilement adapté pour une autre occasion
Tranche d’âge : Tous
Objectif général : Prendre conscience de la diversité de la Création et de l’humanité, s’en réjouir et en être reconnaissant à Dieu.
Temps / durée : 45 minutes à 1 heure
Matériel
Pour la séance de préparation : 9 gros cartons recouverts de papier blanc (ils doivent être suffisamment grands pour que les inscriptions qu’ils portent soient visibles par l’assemblée, mais pas trop pour pouvoir être manipulés sans difficulté par les enfants)
Peintures : grise et de toutes les couleurs
Le jour même : Feuilles de déroulement de la célébration avec les cantiques pour l’assemblée
Préparation
Lors d’une séance de club biblique (école du dimanche), réaliser avec les enfants les bricolages nécessaires au déroulement du culte (décrits ci-après) et apprendre certains cantiques chantés lors du culte.
Sur 4 cartons, les enfants impriment l’empreinte de leurs mains trempés dans de la peinture grise et on y inscrit (en gros) « pollution », « jamais contents », « égoïsme », « jalousie ».
Sur les 5 autres cartons, les enfants impriment l’empreinte de leurs mains trempés dans de la peinture de différentes couleurs et on y inscrit « Dieu pardonne », « Dieu nous aime », « partage », « respect », « amour ».
Les lecteurs (adultes et enfants) ont reçu leurs textes d’avance. Prévoir éventuellement un moment de répétition pour que chacun puisse lire son texte au micro.
Si le culte est un culte des récoltes, les paroissiens seront invités à apporter des fruits et légumes placés devant l’autel et distribués ensuite à des familles en difficulté.
I. Nous rassembler et nous réjouir devant Dieu
- Accueil : La grâce et la paix vous sont données de la part du Dieu trois fois saint, Père, Fils et Saint Esprit. Seigneur notre Dieu, Tu es là au milieu de nous. Ce temps de culte, Tu nous l’offres pour accueillir une Parole qui féconde notre existence, une Parole d’amour à vivre et à partager. Amen
- Cantique : Arc-en-ciel 214 / 1 – 3 (Seigneur, nous arrivons)
- Louange : (dont choix de versets des Psaumes 103 et 104)
Lecteur 1 : 1 enfant ; lecteur 2 : 1 adulte
Lecteur 1 : Je veux remercier le Seigneur !
Oui, je veux dire merci au Seigneur sans oublier un seul de ses bienfaits !
Lecteur 2 : Du haut du ciel, Seigneur, tu arroses les montagnes et tu remplis la terre de tes bienfaits.
Tu fais pousser l’herbe pour les troupeaux, tu fais grandir les plantes pour les humains.
Ils les cultivent pour tirer de la terre leur nourriture : le vin réjouit leur cœur, il fait briller leur visage plus que l’huile, et le pain leur rend courage.
Les oiseaux font leurs nids dans leurs branches, la cigogne a sa maison dans les cyprès.
Tu leur donnes la nourriture, ils la prennent,
Tu ouvres la main, ils mangent à leur faim.
Chantez la louange du Seigneur !
- Répons : Arc-en-ciel 720/1 et 2 (Pour les champs de blé)
Quelques unes de ces richesses de la Création sont exposées ici devant l’autel.
Regardez, admirez comme le Seigneur est généreux !
II. Ecouter le début de l’histoire pour réfléchir
- Narration : (basée sur « La planète grise » d’Edmond Stussi, Toutes ces rencontres, p.88-89, avec l’aimable autorisation de l’auteur)
Cela me fait penser à une histoire qu’on m’a racontée et si vous permettez, je vais vous la raconter aussi.
Cette histoire s’est déroulée dans un pays lointain, un très beau pays à vrai dire, la nature y était belle et généreuse, il y poussait toutes sortes d’arbres et des fleurs de toutes les couleurs, de beaux légumes et des fruits sucrés. Les gens qui y vivaient étaient tous beaux chacun à leur manière, les uns étaient blonds, les autres bruns, certains étaient blancs, d’autres noirs, d’autres encore, un peu café au lait comme dit, certains avaient les yeux bleus, d’autres les avaient verts, marrons ou même noirs.
Tout était pour le mieux et pourtant, quelque chose n’allait pas : les hommes ne cessaient de se disputer parce qu’ils étaient différents et parce qu’ils possédaient des choses différentes : les uns n’étaient pas contents parce qu’ils avaient les cheveux noirs alors que ceux de leurs copains étaient blonds. Les autres réclamaient parce que leur nez était court et aplati, alors que là-bas, de l’autre côté de la rivière, on les portait longs et fins. D’autres encore étaient furieux parce que dans leur jardin les arbres restaient petits, alors que dans une autre région du pays, les arbres poussaient jusqu’au ciel. D’autres encore n’étaient pas contents des délicieuses petites carottes qui poussaient dans leur jardin et enviaient des grosses courgettes qui poussaient dans le jardin de leur voisin. D’autres encore rouspétaient parce que dans leur ville on devait se saluer en disant « solamikou » alors que dans la ville voisine pour dire bonjour on disait « salamikou »….
Pour ces différences et pour beaucoup d’autres encore, les mécontentements des hommes montaient jusqu’aux oreilles de Dieu. Et comme si cela ne suffisait pas, à force d’être mécontents, les hommes étaient jaloux les uns des autres et devenaient si égoïstes qu’ils ne respectaient plus rien, ni Dieu, ni les autres, ni la nature pourtant si généreuse.
Nous allons interrompre l’histoire un moment, parce que ce que je viens de dire me fait penser à nous : nous non plus nous ne sommes pas toujours reconnaissants pour tout ce que nous avons. Prions.
4 enfants se préparent. Les cartons gris seront empilés les uns sur les autres.

- Confession du péché :
Lorsque nous ne voyons pas la beauté de ta Création et que nous ne la respectons pas, Seigneur, pardonne-nous.
Un enfant vient placer le carton « pollution »
Lorsque que nous ne voyons pas ton amour à l’œuvre dans ce monde, lorsque nous oublions que c’est à toi que nous devons toute chose, Seigneur, pardonne-nous.
Un enfant vient placer le carton « jamais contents »
Lorsque nous ne sommes pas reconnaissants, lorsque que nous sommes envieux, lorsque nous ne pensons pas à partager avec nos frères et sœurs moins chanceux, Seigneur, pardonne-nous.
Un enfant vient placer le carton « égoïsme », un autre le carton « jalousie ».
Apprends-nous la reconnaissance et le partage. Amen. - Répons : Arc-en-ciel 408/1-2 (Ouvre mes yeux)
III. Ecouter la suite de l’histoire et recevoir le pardon
- Narration :
Revenons à l’histoire de tout à l’heure. Les hommes donc étaient mécontents de toutes leurs différences, mécontents de ce qu’ils avaient et envieux de ce qu’ils n’avaient pas.
Un jour, Dieu en eut assez. Il décida de faire tomber sur eux un profond sommeil et leur fit faire un rêve étonnant : pour une fois, ils seraient contents, car ils auraient tous la même chose. Dieu n’entendrait plus leurs récriminations.
Ainsi, les hommes rêvèrent qu’un beau matin la planète toute entière n’avait plus qu’une seule couleur : tout était gris. Leurs mains étaient grises, leurs bras étaient gris, leurs cheveux étaient gris, et pas gris comme les cheveux des papis et des mamies, non gris comme la cendre grise du charbon. Leurs visages, leurs yeux étaient gris. C’est bien simple, ils étaient gris de la tête aux pieds. Et comme si ça ne suffisait pas : l’herbe était grise, les fruits et les légumes étaient gris et d’ailleurs ils avaient tous le même goût fade. Le ciel était gris : pas gris foncé comme avant l’orage ou gris pâle comme lorsque le soleil cherche à percer, non un gris moche et uniforme. Le lait était gris, l’eau était grise, l’eau qui sortait des robinets, l’eau des ruisseaux, l’eau de la mer : grise.
Puis les hommes se mirent à parler et dirent qu’ils avaient peur et qu’ils étaient en colère. Puis ils fanfaronnèrent : « Ce n’est rien, se dirent-ils, ça va passer. »
Ils se rendirent alors compte qu’ils parlaient tous de la même façon sur le même ton. Il n’était plus possible de chuchoter pour se dire un secret ou de parler fort, tout le monde parlait sur le même ton. Les enfants ne pouvaient plus raconter en secret leurs malheurs à l’oreille de leur petit chien car les grandes personnes les entendaient et se moquaient d’eux. Les amoureux ne pouvaient plus dire à l’oreille de leur amoureuse : « Tu es la plus belle du monde », car tout le monde les auraient entendus.
Même les chiens se mirent à aboyer sur le même ton. Il n’y avait plus les aboiements joyeux des jeunes chiens : (imiter le jappement d’un petit chien) « ouah ! ouah ! », il n’y avait plus les grosses voix des chiens de garde : (imiter l’aboiement grave d’un gros chien) « ouah, ouah ! ». Non tous les chiens aboyaient de la même manière monotone : « ouah, ouah ! ».
D’ailleurs tout était monotone : les gens ne pouvait plus rire, ni pleurer, ils ne pouvaient plus être ni contents, ni fâchés. Ils ne pouvaient plus chanter, on ne pouvait plus jouer ni de la guitare, ni de la flûte. Plus de son, plus de rythme. Tout était pareil et monotone !
Dieu fit durer ce rêve presque toute la nuit, puis il eût pitié d’eux et leur dit :
« Je vous donne une nouvelle chance. Ouvrez les yeux : Voyez la beauté du monde que je vous ai donné. Ouvrez votre cœur : goûtez la douceur de mon amour dans chaque bouchée de pain. Ouvrez vos mains : réjouissez-vous de ce que vous avez reçu et partagez ! »
- Annonce de la grâce : 4 enfants se préparent. Les cartons de couleurs seront placés l’un à côté de l’autre.

Dieu pose sur nous un regard d’amour, un regard de Père, qui ne condamne pas mais qui pardonne et bénit.
IV. Ecouter la fin de l’histoire
- Narration :
Reprenons le fil de l’histoire. Ce matin-là, en se réveillant, les hommes virent le monde d’une manière toute différente. Ils remarquèrent la beauté du ciel et la chaleur du soleil, les couleurs et les parfums si divers des fleurs, le goût des poires et des pommes, le chant des oiseaux et les aboiements des chiens. Et en se regardant dans la glace, les uns furent contents de leurs yeux bleus, les autres de leurs yeux noirs, les autres de leurs yeux marrons, les autres encore de leurs yeux verts… tant et si bien qu’ils furent tous remplis de joie car brusquement tout leur semblait merveilleux, je devrai plutôt dire miraculeux. Quelques uns se souvinrent alors d’un vieux livre qui disait quelque chose de l’auteur de ce miracle.
Ce vieux livre nous allons l’ouvrir aussi, mais avant nous allons prier pour que Dieu nous donne d’entendre derrière ces mots écrits il y a bien longtemps, une Parole pour aujourd’hui.
- Prière d’illumination :
Seigneur, tu nous as donné la nourriture pour notre corps. Mais nous avons aussi besoin de nourriture pour notre vie. Accorde-nous ton Esprit pour que ta Parole devienne pain pour notre chemin, pour qu’elle nous nourrisse, nous fortifie, nous apprenne à vivre comme tes enfants.
Amen.
- Lectures bibliques :
Psaume 104 / 1b, 10-15, 24, 27-28
Luc 12 / 13 – 21 - Narration :
Je reviens une dernière fois à mon histoire et cette fois je vais terminer, parce qu’à vrai dire, il n’y a plus grand-chose à dire, mais ce pas grand-chose-là est essentiel. Après ce mauvais rêve, les hommes ont redécouvert la beauté de la Création et dans les mots du vieux livre, ils ont entendu un appel à la reconnaissance et au partage. Ce jour-là fut différent de tous les jours avant et de tous les jours après, car d’un bout à l’autre du pays on entendait un murmure comme un « je t’aime » chuchoté à l’oreille, un murmure de prières et de chants de louange qui remerciaient Dieu pour son amour et la beauté de sa création.
Associons-nous nous aussi à ce murmure… - Cantique : Arc-en-ciel 165/1-3 (Rendez grâce au Seigneur)
- Annonces
- Offrande
2 enfants font la collecte - Prière d’offrande :
Seigneur, reçois favorablement notre offrande, comme signe de notre reconnaissance et de notre engagement à ton service. Nous l’offrons pour l’annonce de ton Evangile et le service de nos frères. Amen. - Cantique : Arc-en-ciel 151/1, 2 et 4 (Je louerai l’Eternel)
V. Prier ensemble et se quitter
- Prière d’intercession :
3 enfants se préparent, les cartons de couleur seront placés sur les précédents.

Lecteur 2 : Seigneur, nous te disons merci pour la nourriture abondante sur notre table. Donne-nous de toujours discerner ton amour dans cette abondance. Apprend-nous la joie du partage.
Un enfant vient placer le carton « partage »
Un enfant vient placer le carton « respect »
Un enfant vient placer le carton « amour »
- Notre Père qui est aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour,
pardonne-nous nos offenses
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés,
et ne nous soumets pas à la tentation,
mais délivre-nous du mal,
car c’est à toi qu’appartiennent
le règne, la puissance et la gloire,
pour les siècles des siècles.
Amen.
- Cantique : Arc-en-ciel 882 (Que la grâce de Dieu)
- Envoi : N’oubliez pas ce que vous avez entendu et compris, découvert ou redécouvert, chanté et prié lors de ce culte, ne le gardez pas pour vous ! Dites-le, partagez-le, vivez-en et réjouissez-vous !
- Bénédiction : Que le Seigneur vous bénisse et vous garde, aujourd’hui toujours et jusque dans l’éternité. Amen.
- Les fils de l’homme
| Les Fils de l’homme (Children of men), Alfonso Cuaron, d’après le livre de PD James, 2006, 1h50’ A partir de 12 ans |











