Point KT

Vous avez 287 résultat(s) pour votre recherche :

Préciser votre recherche

  • Réinitialiser

- Sérieux, s’abstenir

Image 

Jouer, ce n'est pas sérieux. Jouer en Église, encore moins. Exception faite pour l'orgue qui s'autorise quelques jeux. Pourtant la Bible et la théologie n'hésitent pas à accorder des lettres de noblesse à l'activité ludique de l'homme et même de Dieu.

 

Lire la suite Sérieux, s’abstenir

- Le jeu coopératif

Image Un jeu traditionnel met en avant la compétition, la réussite, les meilleurs talents, favorise les forts ou les faibles.
Le jeu de coopération lui, prend le contre pied de cette réalité de vie. Il développe chez les enfants, les adultes ou toute personne qui y joue l'esprit d'équipe, de collaboration, d'entraide dans la réalisation de l'activité ainsi que dans le résultat collectif poursuivi.
Lire la suite Le jeu coopératif

- Jouons avec les ados

 Image La catéchèse pour adolescents se trouve à la croisée de chemins éminemment sérieux,  d'un côté les ados, en pleine construction de leur identité ; de l'autre la tradition chrétienne dont il va s'agir de tester la pertinence pour sa propre vie. Entre les deux, la catéchèse qui ne peut être envisagée sans une part importante de Jeu.
Lire la suite Jouons avec les ados

- La souveraineté alimentaire

Image Voici des outils pour aborder le thème de la mondialisation et de la souveraineté alimentaire avec les jeunes, présentés dans une mallette 
Lire la suite La souveraineté alimentaire

- Porter le « différent » jusqu’à nous !

Image

Comment  "apprivoiser " un enfant "différent" à cause de son handicap dans un groupe, comment s'apprivoiser les uns les autres ?

En tant que catéchète, animateur, animatrice d'école du dimanche ou de Club biblique, nous pouvons être confronté à l'arrivée d'un enfant différent ou handicapé dans notre groupe. Que faire ? Comment s'y préparer et comment préparer l'accueil avec les autres enfants ?

Imaginez une voix sous le pommier, un renard et un petit prince nous invite à la rencontre.

{mospagebreaktitle=Page 2 - Une voix sous le pommier}

Lire la suite Porter le « différent » jusqu’à nous !

- Sur quoi fondez-vous votre vie ?

Image

Lao Tseu, le sage chinois, fondateur du taoïsme, racontait cette histoire :

Il était une fois un homme, Tsi, qui était très avide d'or. Tsi s'est habillé dès l'aube, il a mis sa casquette et s'est rendu au marché. Il s'est dirigé vers l'étalage du changeur et soudain... a pris l'or et s'est enfui.

Lire la suite Sur quoi fondez-vous votre vie ?

- De Pâques à Pentecôte, le souffle en marche

Si tout s’était arrêté à la croix, nous garderions de Jésus une belle image, nous dirions de lui que c’était
Lire la suite “De Pâques à Pentecôte, le souffle en marche”

- La tour de Babel

Tour_de_babel

Le récit biblique d’une tour immense construite par les hommes pour atteindre le ciel trouve son inspiration dans les ziggourats Lire la suite “La tour de Babel”

- L’important n’est pas d’arriver

Pour se poser quelques questions à propos de ce que nous faisons en matière de catéchèse

Image 

Les ministres et catéchètes en charge de différents mandats catéchétiques savent souvent où ils vont. Ils connaissent leurs objectifs, ils ont, pour la plupart, une formation qui leur permet de s’adresser « correctement à leur public cible », bref ils ont une visée… Mais cette dernière, n’est-elle pas à ce point présente qu’elle les empêche de voir le chemin qu’ils parcourent, la route sur laquelle ils peuvent faire des rencontres importantes, la disponibilité toute simple que requiert quoiqu’on fasse un jeune ? En une phrase : et si l’important n’était pas d’arriver mais d’avancer ?

Lire la suite L’important n’est pas d’arriver

- Noël des animaux et pourquoi pas ?

Image  « Et les animaux, pourquoi ils n’ont pas de cadeaux ? »
Par cette question, les enfants nous demandent à leur façon : que fêtons-nous à Noël ? Un événement qui n’a de valeur que pour nous, les humains ? Ou qui concerne aussi les animaux et l’ensemble de la création ?  


Dans l’imagerie populaire, par exemple dans de nombreux contes de Noël, les animaux ont une place importante. Autour de la crèche, outre le bœuf et l’âne traditionnels, on représente souvent d’autres animaux venus pour la naissance de Jésus. Durant la nuit de Noël, disent certaines histoires, les bêtes peuvent même se mettre à parler.

Bien sûr, on peut estimer cette imagerie mièvre et sentimentale. Mais elle témoigne, à sa manière, d’une authentique dimension de Noël : celle d’une réconciliation de toute la création. Dans le témoignage biblique, c’est en effet pour le monde entier qu’est attendu un messie. Afin que soient restaurées la paix et la justice sur l’ensemble de la terre, pour toutes les créatures.
 
Image 
 
Une promesse pour toute la terre

Dans le livre d’Esaïe, l’annonce de la naissance d’un nouveau David issu de la racine de {yootooltip title=[Jessé]}Jessé est le nom du père de David{/yootooltip} est suivie par une magnifique évocation d’un monde réconcilié :

« Alors le loup séjournera avec l’agneau, la panthère aura son gîte avec le chevreau.
Le veau et le lionceau se nourriront ensemble, et un petit garçon les conduira.
La vache et l’ourse se lieront d’amitié, leurs petits seront couchés côte à côte.
Le lion comme le boeuf mangera du fourrage.
Le nourrisson jouera sur le nid du serpent,
et le petit garçon pourra mettre la main dans la cachette de la vipère.
On ne commettra ni mal ni dommage sur toute la montagne consacrée au Seigneur,
car la connaissance du Seigneur remplira le pays
aussi parfaitement que les eaux recouvrent le fond des mers. [Es 11,6-9]

Alors pourquoi, au-delà des images d’Epinal, ne pas se réjouir à Noël la naissance de celui qui est venu fonder sur la terre règne de justice et de paix pour les êtres humains et l’ensemble de la création de Dieu.
Par exemple, si on en a la possibilité, en célébrant un Noël des animaux.

 
Vivre Noël au cœur de la nuit

Il y a deux ans, lors d’une émission de la télévision suisse romande, Gabriel de Montmollin, théologien, racontait comment se déroule dans sa famille ce rite d’un Noël des animaux.
 
Chaque année, petits et grands se rendent dans la forêt, au cœur de la nuit. Et là, après avoir décoré un arbre, ils déposent des cadeaux pour les animaux : des graines, quelques fruits ou légumes. Puis, après un chant, on retourne à la maison en laissant l’arbre éclairé dans la nuit, sans se retourner. Car la tradition veut que si l’on regarde, les animaux disparaissent.

Il y a dans cette habitude familiale bien des éléments intéressants. A commencer par un côté à la fois féerique et ludique, rituel et spontané. Sortir dans la nature, quitter l’agitation et les zones éclairées autour des maisons pour entrer dans le silence et l’obscurité de la nuit donne une autre dimension à ce moment d’une célébration de Noël. Les participants se retrouvent au fond dans la même situation que les personnages de l’histoire biblique, vivant au cœur de la nuit un mystère qui les dépasse.
 
Par la venue du Christ la terre est habitée par une présence qui n’éblouit pas les regards, mais dont on cherche des signes, comme des traces de lumière au milieu de la nuit.
Noël est alors une invitation à reprendre pied dans la simplicité de notre monde, dans ce qu’il a de humble et de concret. A se redécouvrir reliés non seulement aux autres, mais aussi à tout ce qui vit, à l’ensemble de la création. Parce que tous, nous sommes portés par l’amour de Dieu, et appelés à découvrir et à vivre son règne sur cette terre qu’il a créée.

Déposer dans la nuit, au pied d’un arbre bien vivant, quelques légumes pour les animaux, n’est-ce pas rappeler, à Noël, quelque chose de la dimension universelle que Dieu a voulue pour la naissance du Christ ?



Lire la suite Noël des animaux et pourquoi pas ?