Une colombe part pour Bethléem
En ces temps où brillait une étoile au-dessus de Bethléem, un bruit courait à travers le pays : on racontait que l’enfant qui était né dans l’étable était le nouveau roi…
Un roi dans une crèche garnie de paille ? Incroyable, disaient les gens en hochant la tête.
Mais tous ceux qui croyaient en lui se mettaient en route pour … Lire la suite
Luc a écrit son évangile dans les années 90 pour un auditoire essentiellement pagano-chrétien. Il tient à démontrer que son texte s’enracine dans la première alliance : l’Ancien Testament. Il mentionne les ancêtres illustres d’Élisabeth et de Zacharie, fait des clins d’œil aux patriarches, énumère le Temple, le prophète Élie, les prophéties de Malachie, le trône de David… Se déploie

Un rap (ou un slam) de Noël,
Célébrer Noël à travers les quatre Évangiles c’est montrer que la Bonne Nouvelle est une polyphonie : plusieurs voix ont annoncé Noël, et chacune dit à sa manière ce que signifie la venue de Dieu sur terre.
L’idée de ce bricolage est tirée du livret : « Le culte d’enfants en Allemagne : partager notre expérience », Association pour le culte d’enfants en Westphalie, Villigst, 2006
Voici une saynète inspirée du diaporama «

« Moi je suis Gabriel, je me tiens devant Dieu pour le servir. Il m’a envoyé pour te parler et pour t’annoncer cette bonne nouvelle… Mais tu n’as pas cru à mes paroles. Tu vas donc devenir muet et tu ne pourras plus parler jusqu’au jour où tout cela se réalisera. » Luc 1, 19-20.