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Lettre aux enfants de l’association Lifegate

Offrande des enfants pour les enfants de la Palestine

À toi, ami.e de l’autre côté,
À toi, qui traverse des moments éprouvants,
À toi qui porte divers handicaps qui ont entrainé ton exclusion,
Toi à qui la vie n’a pas souri à maintes occasions,

Nous t’envoyons ces mots remplis d’amour,

Pour que ton cœur retrouve un peu d’espoir.
À toi, qui n’as pas l’opportunité d’apprendre,
Et de t’intégrer dans la vie scolaire et sociale comme les autres enfants,

Nous voulons te dire que tu n’es pas seul,

Solidaires, nous sommes ici pour alléger ton labeur.
Chaque jour tu t’accroches à tes rêves,
Malgré les difficultés qui s’entrelacent,

Tu gardes la foi, dans les rires et les pleurs,

 Ton courage est immense et ton dévouement, une vraie chance.
À toi, nous adressons nos prières sincères,
Pour que la lumière éclaire ton chemin tortueux vers un avenir meilleur,

Où ton talent et ton potentiel seront à l’honneur.

À toi, nous envoyons un dessin coloré,
Un reflet de notre amour et de notre amitié,
Des couleurs vives pour illuminer ton quotidien,

Pour te rappeler qu’il existe des lendemains sereins.

À toi, notre ami.e, nous t’adressons ce message,
Sache que notre amour est unissant,
Nous te soutenons de tout notre être,

Et nous espérons que tu sauras renaître.

À toi, qui luttes avec tant de bravoure,
N’oublie jamais que l’espoir est une valeur,
Une étoile brille même dans la nuit la plus sombre,

Accroche-toi à elle, elle te guidera sans encombre.

Pour t’apporter un peu de réconfort, un peu de courage,
À toi, notre correspondant.e,
Nous croyons en toi et en ta force intérieure,

Et nous sommes là, unis dans la même prière.

À toi, nous envoyons nos vœux les plus sincères,
Que ton destin s’illumine, que tes peines s’évanouissent.
Puisses-tu trouver un avenir radieux,

Où le bonheur sera enfin généreux.

À toi, ma sœur et mon frère, prends soin de toi,
Nous t’envoyons tout notre amour par-delà les toits,
Quand tu ouvriras cette lettre, ressens notre présence,

Nous sommes là pour toi, avec bienveillance,

Et nous t’envoyons de petits cadeaux qui nous l’espérons réchaufferont ton cœur.
#On est ensemble.

Crédits : Queren Bokenge et les enfants du culte du dimanche de l’église du Botanique (Bruxelles) – Point KT – Illustration Pixabay




La rencontre entre Jésus et les enfants (Marc 10.13-16)

De « pâte à modeler » à « modèles du croître et du croire pour les adultes »

Toutes formes de relation commencent par une rencontre singulière, unique. « Savoir rencontrer l’autre, c’est sans conteste le premier pas de toute humanité » (Cohen 2013). Dans le récit de Marc 10.13-16, l’expérience d’un « premier pas » constitutive de la socialisation primaire et déterminante dans l’éveil et la construction spirituels des enfants a bien failli être limitée. Le mot grec employé pour désigner les enfants suggère qu’ils auraient « moins de sept ans »[1] (Bailly 2000 : 1439). En rabrouant les enfants (v.13), les disciples reproduisaient les schémas culturels en vigueur à cette époque pour lesquels ceux-ci n’avaient pas de reconnaissance sociale véritable. Ils étaient traités comme « des pauvres », « des ‘hors-la-Loi’. […] et mis au rang des ‘exclus’, comme les malades, les femmes et les esclaves »[2] (Hervieux 2001 : 439 ; 440) ; ils n’étaient que des pâtes à modeler dans une logique de transmission et de discipline[3] (Gossin 2016 : 75). L’hypothèse selon laquelle ceux-ci pouvaient être considérés comme « encombrants », et qu’ils étaient silencés pendant les enseignements en raison de gazouillements ou de discours impromptus augmentés de leur ignorance de la Torah, est envisageable.

« Refuser la rencontre avec autrui, c’est s’appauvrir » (Léonor De Récondo)

Lorsque les disciples, inscrits dans une logique de disciplinarité, censurent la rencontre entre les enfants et le porteur de la bonne nouvelle, c’est dans le but d’« éviter que quelque chose ne tourne mal ». Par cet acte qui partait d’une « bonne intention », ils participent inconsciemment à l’appauvrissement des enfants en amour, en joie, en expérience spirituelle et en foi. Ces éléments, essentiels pour le bon développement de leur estime de soi, de leur conscience personnelle et de leur être spirituel, conditionnent aussi la qualité de leurs rapports altéritaires. Jésus attristé et en colère par cette situation (v.14a ; 14b) renverse cette posture de disqualification, d’exclusion, d’invisibilisation et de silenciation en indiquant d’autres bifurcations possibles, en injectant d’autres codes sociaux à savoir l’accueil et l’amour inconditionnels.

Être à l’école des enfants ? Entrer dans le royaume de Dieu comme le ferait un enfant

Son approche dé-constructive va plus loin. Fort de son autorité alternative et anticonformiste, Jésus insère une pédagogie d’enseignement inversé dans laquelle il centralise l’attention de la foule et des disciples sur les enfants – tout comme dans la péricope 9.30-50 – qu’il fait passer en deux logia (v.14 et 15) de la position d’« invisibilisé » dans la foule à celle d’« important », de la stature de « pâte à modeler » à celle de « modèle du croître et du croire pour les adultes » (Gossin 2016 : 75). Certaines caractéristiques propres aux enfants, à savoir la dépendance, la disponibilité, la vulnérabilité et la confiance, mais qui pouvaient parfois leur valoir la condition de faiblesse aux yeux des adultes vont constituer pour Jésus l’exemple à suivre pour toutes personnes souhaitant accueillir le royaume de Dieu et y entrer.

Le poids des mots parlés ou écrits : le langage a un impact sur le réel

Alors qu’il existe de nombreuses rencontres regrettables et préjudiciables, celle avec Jésus est humanisante, fertile et elle laisse des traces mirifiques dans le cœur, la mémoire et l’imaginaire des enfants. Les mots ont un poids et leur choix dans un discours peuvent soit servir à rembarrer (v.13), dénigrer et assigner au statuquo et on parle de « mots-murs[4] » (Marshall 2016), ou soit à accueillir, valoriser, libérer et on parle de « mots-fenêtres » (Ibid.).

Jésus est un expert de « mots-fenêtres » par lesquels il sculpte de manière symbolique et matérielle un espace de vie dans lequel les enfants ont une place de choix et une « voix » bien que cette dernière soit implicite dans la péricope. En effet, si l’évangéliste Marc choisit dans ce court récit de dissimiler les propos des personnages, l’absence de termes n’exclut ni une prise de paroles des enfants qui est plus une parole intelligente en retour de celles de Jésus, ni une forme de langage alternatif par l’entremise duquel une communication se crée entre eux. Pour « toucher » ces derniers (v.13a), Jésus va adjoindre aux paroles les éléments d’une communication non verbale, tout aussi porteuse de signification pour des enfants en bas âge. Pendant qu’il les embrasse, les bénit – dans le sens grec de « parler en bien », « faire l’éloge » – en leur imposant les mains (v.16), il se fait don et se connecte à eux par des mots-fenêtres, les gestes, le regard, l’écoute, le langage corporel, les expressions du visage qui traduisent ici son affection, son amour et il leur offre de façon concomitante le don du royaume. Peut-être les lui rendent-ils bien ! En effet, dans cette rencontre, les enfants surtout ceux et celles en âge de parler ont eu des choses à dire à Jésus, des questions à poser sur ce Dieu dont leurs parents parlaient tant, tout comme ils interpellent aujourd’hui les adultes avec des questions existentielles.

 Continuer d’accompagner les enfants dans une rencontre avec Jésus

Jésus constitue aussi dans un récit un exemple à suivre pour les disciples et les adultes dans leur rapport avec les enfants (en famille ou à l’église). Il les invite à se mettre du côté des enfants, à leur consacrer plus de temps, à s’intéresser à leurs questions sur le monde et à les accompagner régulièrement vers la présence du Seigneur. Ce dernier les attend et les accueille les bras ouverts. Il est si beau d’imaginer la joie des enfants dans un tel échange où leurs besoins existentiels fondamentaux – de l’ordre de l’affectif, du cognitif et de l’écoute – sont respectés par les parents et d’autres adultes qui ont la responsabilité de les accompagner dans leur démarche spirituelle. De telles expériences les équipent et leur permettent d’aller à la rencontre d’autres imaginaires, d’autres enfants, d’y déployer en retour l’amour et la considération reçus et le cas échéant de prendre position lorsque ces valeurs humaines sont enfreintes.

Pistes pédagogiques pour entrer dans le texte de Marc 10.13-16 par une image

[1] Bailly Anatole, (2000). Dictionnaire Grec-Français, Vanves, Hachette.
[2] Hervieux Jacques, « Commentaire sur ‘Jésus et les enfants’ (Mc 10,13-16) », dans Gruson Philippe (dir.), 2001. Les Evangiles. Textes et commentaires. Tome I, Paris, Bayard Compact.
[3] Gossin Richard, (2016). L’enfant théologien. Godly Play : une pédagogie de l’imaginaire, Namur, Editions Jésuites.
[4] Pour les « mots-murs » et les « mots-fenêtres », voir Rosenberg Marshall B., (2016). Les mots sont des fenêtres (ou des murs). Genève, Editions Jouvence.

Crédit : Christel Zogning Meli (EPUB) – Point KT – Illustration Christel Zogning Meli




Un récit de Noël (avec autocollants)

Voici un projet porté en collaboration avec l’Eglise protestante en Rhénanie (EKiR) : un petit livret d’autocollants pour accompagner les enfants dans leur découverte d’un récit de Noël.

Le service « Eglise des enfants » de l’EKiR a conçu et réalisé ce livret destiné aux enfants de 2 à 10 ans environ. Il contient un récit de Noël inspiré de l’Évangile selon Luc et cinq doubles pages sur lesquelles les enfants peuvent apposer une soixantaine d’autocollants illustrant ce récit avec des personnages, des animaux, des objets variés. A la fin du livret, un courrier invite les lecteurs adultes à s’interroger sur le sens de la fête de Noël et propose des liens vers des activités complémentaires.

L’EKiR a généreusement accepté de partager ce projet et le livret sera bientôt disponible auprès des services de la catéchèse de l’EPUdF et de l’UEPAL : n’hésitez pas à vous renseigner !

Ce projet peut être utilisé de différentes manières : comme cadeau de Noël pour les enfants de votre famille, de votre paroisse, de votre association d’entraide ou de votre groupe d’éclaireuses et éclaireurs ; comme livret à distribuer à l’occasion des marchés ou cultes de Noël, ou à envoyer aux familles pour les fêtes ; comme outil pour une rencontre catéchétique autour de Noël…

La vidéo du récit de Noël 

Nous avons gardé le chant des bergers à la fin de la vidéo dans la version originale de l’EKiR. Ne soyez donc pas surpris, c’est en allemand ! Leur chant reprend « gloire à Dieu au plus haut des cieux, Dieu aime tous les humains ».

Téléchargez ici les indications pour réaliser les décorations de Noël liées au livret :

Indications bricolage version 1
Indications bricolage version 2

Laurence Gangloff (UEPAL) et Marion Heyl (EPUdF)




Davida et Goliath

Une petite saynète pour 3 personnes (narrateur, Davida et Goliath) pleine de belle humeur permettant de raconter de manière décalée l’histoire de David et Goliath (1 Samuel 17).

Matériel : Déguisement, poêle, 1 Nerf (voir image), enceinte, musique

 

Narratrice : Aujourd’hui, nous voulions vous présenter un spécimen des plus étranges, mais attention, tout ce que vous allez voir et entendre est exécuté par des professionnels, n’essayez pas de le reproduire à la maison. La créature que je vais vous présenter s’appelle un Goliath. Quelqu’un d’entre vous a-t-il déjà vu un Goliath ? Je vais vous demander de reculer un peu, parce que c’est une créature des plus féroces. Attention, le voilà.

(Goliath entre sur une musique terrifiante en essayant de paraître petit, avec une poêle à la main) 

Narratrice : NN, c’est quoi ce déguisement. On avait dit grand avec une armure, un bouclier et une grande épée et toi…

Goliath : Je ne sais pas, je m’étais dit, tu vois. Quelqu’un de petit il est aussi dangereux et une poêle, déjà ça protège super bien et ça fait super mal. Tu t’es déjà pris un coup de poêle en pleine tête ?

Narratrice : C’est bon, c’est bon, je te crois, Goliath…

Goliath : Je suis terrifiant ! Je suis l’intraitable, l’infatigable, le puissant Goliath. Osez seulement vous approcher pour affronter ma terrible poêle à frire. Ah ah ah !

Narratrice : Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que le reste de mon histoire ne sera pas très biblique. Bon, disons que ceci, c’est bien un Goliath.

Goliath : Oui, je suis l’intraitable, l’infatigable, le puissant Goliath. Ah ah ah !

Narratrice : Comme je disais, Goliath…

Goliath : Je suis l’intraitable, l’infatigable, le puissant Goliath. Ah ah ah !

Narratrice : Bon, tu vas pas me faire ça à chaque fois que je dis Goliath.

Goliath : Je suis…

Narratrice : (regard noir) / (mettre l’accent) Goliath, (pause) donc, c’est ça. Une terrible et une affreuse créature crainte de tous. Tous, non, parce qu’une personne osa l’affronter !

Davida (Marionnette) : Davida, fille d’Isaï, botteuse de fesse, terreur des ours et des lions, assommeuse de brute en tout genre, en commençant par les grands frères.

Narratrice : (en montrant sa feuille) Non, mais sérieux, vous n’avez donc pas lu le script avant. Pourquoi je me casse la tête à écrire un script si vous n’en faites qu’à votre tête. C’est David, pas Davida !

Davida (Marionnette) : Tu vois, je m’étais dit, on va moderniser un peu tout ça. Je ne vois pas pourquoi c’est toujours au garçon d’être le héros des histoires.

Goliath : Tu veux dire que c’est toi le héros ? Moi, je pensais…

Davida (Marionnette) : Tu savais pas…

Goliath : (se lève) Ben non, tu sais, moi, j’improvise mon truc, j’ai rien lu. T’as le texte là ? Tu veux dire que c’est moi qui vais…

Narratrice : (énervée) Bon, c’est bon, vous n’avez pas fini tous les deux. Toi, remets-toi à ta place et toi, ben, reste Davida. On fera avec. Ok. Bon, où est-ce que j’en étais. On a David-a et Goliath.

Goliath : Je suis l’intraitable, l’infatigable, le puissant Goliath. Ah ah ah !

Narratrice : C’est la dernière fois. Ok. Goliath était un terrible guerrier, il faisait peur à tout le monde avec sa, disons, terrible poêle à frire. Il avait la force, le courage, la détermination, mais il y avait une chose qu’il n’avait pas.

Davida (Marionnette) : Un Nerf !

Goliath : Oh non, ça, c’est pas du jeu. Comment ça se fait qu’elle a le droit d’avoir un Nerf. Et déjà, au temps de la Bible, ben il n’y avait pas de Nerf !

Narratrice : Il n’y avait pas non plus de poêle à frire. Je continue : bien plus qu’un Nerf, Davida avait Dieu.

Goliath : Dieu et le Nerf ! C’est de la triche là. Et moi, je suis tout petit et j’ai même pas de protection.

Narratrice : Maintenant t’assume. Ok ! Et l’histoire dit que tu ne dois pas avoir peur de lui, je veux dire d’elle.

Goliath : Ben dans l’histoire, il n’y avait pas de Nerf…

Narratrice : Bouge plus, maintenant. Ce n’est pas possible. Vous faites la paire tous les 2. Alors. Davida avait une arme secrète : Dieu. Elle pensait au plus profond de son cœur que grâce à Lui, elle pourra vaincre ce monstre dont tout le monde avait peur. C’est sans peur alors qu’elle alla affronter Goliath.

Goliath : Dis, elle va vraiment tirer avec le Nerf ?

Narratrice : Chut, ce n’est pas à ton tour de parler.

Davida (Marionnette) : Goliath, je viens t’affronter !

(silence)

Narratrice : Ben, maintenant c’est à toi de parler. Là, tu dois dire que tu n’as pas peur et tout et tout.

Goliath : Oui, mais moi, j’ai peur. Un Nerf, ça fait grave mal !

Narratrice : Goliath !

Goliath : (apeuré) Ah ah ah ! Tu viens devant moi avec ton… Nerf ! Tu me prends pour un… Playmobil.

Davida (Marionnette) : Toi, tu viens contre moi avec une poêle à frire. Et moi, je viens contre toi au nom du Seigneur, le Dieu de l’univers. Aujourd’hui même, le Seigneur va te livrer à moi. Je vais te tuer et donner ton corps aux oiseaux et aux animaux sauvages !

Goliath : (surpris) Quoi ? Mais attendez, j’ai pas signé pour ça moi !

Davida (Marionnette) : Meurs ! (tire avec son nerf sur Goliath)

Goliath : Aïe ! Ah ah ! Je suis tout mourru !

Narratrice : Et c’est ainsi que se finit notre histoire. Goliath fut vaincu par Davida, grâce au courage qu’elle a reçu de la part Dieu. Car avec Dieu, rien n’est impossible, même pas de raconter une histoire de la Bible avec nos deux compères.

(musique)

© 2023, Église Junior, Point KT




Chant pour l’Epiphanie : Belle étoile – Jean-Jacques Delorme

Chant pour le dimanche de l’Epiphanie : Belle étoile, voici une composition du pasteur en retraite, Jean-Jacques Delorme

1. Venus d’Orient, trois savants
Suivaient inlassablement
Une étoile plus brillante que nulle autre.
Reçus à Jérusalem
Par un piètre souverain,
Ils poussèrent leurs montures plus avant.

Refrain :

BELLE ETOILE, OUVRE NOS YEUX,
QUE VEUX-TU NOUS REVELER ?
BELLE ETOILE, CE NOUVEAU-NE,
SERAIT-IL LE FILS DE DIEU ?

2. Quand ils virent leur étoile
Scintiller sur Bethléem,
Ils frappèrent à la porte d’une étable.
Blotti contre sa maman,
Un nouveau-né leur sourit
Comme s’il leur souhaitait la bienvenue.

3. Lorsque le bambin frémit,
Les trois sages tout émus
Lui offrirent des présents inoubliables :
Le plus fort tendit de l’or,
Et le plus grand de l’encens ;
Le troisième lui présenta de la myrrhe.

4. Devant Joseph et Marie,
Qui allaitait son petit,
Des bergers chantaient des hymnes de louange.
Après un dernier hommage
A l’enfant et sa famille,
Les trois mages se remirent en chemin.

5. Malgré leur accord verbal
Conclu au palais royal,
Les savants s’abstinrent d’informer Hérode,
Car celui-ci ordonna
De mettre à mort son rival.
C’est pourquoi Joseph s’enfuit avec les siens.

Dernier refrain :

BELLE ETOILE, DU HAUT DU CIEL,
TU COURONNES LE MESSIE :
L’ENFANT FRELE, NE DE MARIE,
C’EST JESUS, L’EMMANUEL

Paroles & Musique : Jean-Jacques Delorme

Crédits : Jean-Jacques Delorme (UEPAL), Point KT, illustration Pixabay




Une année avec les animaux – cultes pour tout-petits

Voici un parcours d’une année pour les cultes à 4 pattes dont la thématique générale est : les animaux.
Ont participé à ces propositions : Anne-Marie, Thaïs, Judith, Fabian, Anne, Androa, Vera, Hermine, Dorothée…

Thème : Le lion (octobre)

Thème : L’âne, le bœuf et les moutons (décembre)

Thème : Le cochon (janvier)

Thème : Le serpent (février, Carême)

Thème : Le coq (Pâques)

Thème : La baleine (avril)

Crédits : Equipe réunie de la paroisse du Bouclier (UEPAL), Point KT, Illustration Pixabay




Le monde et moi

Voici une proposition de parcours spirituel à vivre individuellement sur le thème « le monde et moi » avec l’ensemble des fiches et une petite introduction de présentation.

Ce parcours, inspiré des « Chemins de Thomas », a été expérimenté lors d’un rassemblement de jeunes de 15 à 25 ans. Il aborde quatre grandes thématiques : le monde est beau, quelle voix suivre dans le monde, le monde souffre, je suis lumière du monde.

Vous trouverez dans le fichier les éléments à imprimer pour l’installation du parcours et la description du matériel nécessaire.

Parcours spirituel avec introduction et fiches

Crédits : Marion Heyl et Silje Lovdal (EPUdF), Point KT, photo Pixabay




Temps pour la Création 2023

Chaque année, du 1er septembre au 4 octobre, les communautés chrétiennes sont invitées à célébrer la Saison de la Création ou Temps pour la Création, une fête chrétienne et un temps pour prier, rendre grâce pour le monde créé par Dieu et confié à l’humanité, un temps pour prendre soin de notre maison commune et veiller à notre environnement. Ce grand rendez-vous œcuménique annuel propose le thème 2023 : « Que la Justice et la Paix se répandent » (Amos 5, 24)

Aller sur le site pour y découvrir toutes les ressources.

(Ressources de l’Eglise orthodoxe, de la Fédération Luthérienne Mondiale, de la Communion anglicane, de la Communion mondiale des Eglises réformées, catholique et de ACT Alliance Climate Justice)

Crédit : Laurence Gangloff, Point KT




Une année avec les enfants de la Bible – cultes tout-petits

Voici le parcours d’une année pour découvrir avec les tout-petits (et leurs parents) les enfants mentionnés par la Bible. Equipe : Hermine, Vera, Emilie, Pierre, Jakob, Vincent, Hélène, Anne, Guillaume, Maëlle, Androa, Grzegorz, Lucie…

Crédits : Equipe de la paroisse du Bouclier (UEPAL), Point KT, illustration Pixabay




Une année avec les arbres de la Bible – cultes tout-petits

Voici le parcours d’une année autour de la thématique des arbres et végétaux bibliques, pour les tout-petits et leurs parents. Propositions de Monique, Pétra, Anne, Véra, Maëlle, Hélène, Emilie, Pierre, Vincent

Crédits : L’équipe de la paroisse du Bouclier (UEPAL), Point KT, Illustration Pixabay