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- Moderniser sans trahir

ID 1296

Les temps ont changé, et la volonté de plus en plus affirmée d'accueillir à nos cultes les parents et leurs enfants a conduit à chercher d'autres manières de le vivre dans sa forme, dans son langage comme dans ses gestes. C'est une bonne nouvelle !


Vingt siècles d’évolution

Moderniser sans trahir

Voici quelques réflexions sur la participation des enfants à la cène. Malheureusement, certains mots sont tombés au bas de la page.

=> Pourras-tu mettre le numéro du bon mot au bon endroit ?


Au début, chez les protestants, seuls ceux qui comprenaient le sens précis du sacrement de la cène ......... y prendre part. Il

fallait donc avoir suivi une.......... religieuse pour participer à la cène qui avait lieu à la fin du catéchisme. Dans certaines

paroisses, les enfants.......... l’église (ou le temple) au moment de la cène. Or, les jeunes enfants font partie de

l’Église.......... les adultes. De plus, tous les adultes qui participent à la cène en comprennent-ils le.......... sens ? Désormais,

les paroisses organisent des cultes pour parents et enfants et de plus en plus d’enfants prennent la cène. En effet Dieu..........

à ce qu’il y a de plus profond dans le cœur des humains. Et les enfants et les jeunes.......... le langage symbolique aussi bien

(parfois même mieux) que les adultes. Les enfants qui n’ont pas encore été baptisés.......... devraient être exclus de la fête. Le

principe qui fait du baptême une condition pour participer à la cène est donc.......... en cause. Personne n’imagine que cela

soit.......... à la volonté de Dieu.

***

1) quittaient  2) sens  3) ne….pas   4) comme  5) instruction  6) contraire   7) comprennent  8) pouvaient   9) remis en  

10) s’adresse

 

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- Une sucrerie pour Pessah

ID 1286 115

Pour Pessah, les familles juives dégustent des mets variés qui rappellent un événement de l’esclavage en Égypte et la libération du peuple juif. Nous vous proposons ici une recette sucrée facile à réaliser, et qui participe à cette liturgie particulière de cette nuit de l’Exode. Elle rappelle la confection des briques notamment parce qu’on la moule dans le creux des mains.


Matériel : Un bol avec mortier, un bol mélangeur mixeur et une spatule, une petite cuillère.

Ingrédients : 100 grammes de raisins secs, 100 grammes de dattes sèches, 100 grammes d’abricots secs, 100 grammes de pruneaux dénoyautés, 100 grammes de noisettes entières, 50 grammes de pistaches entières, 50 grammes de noix hachées grossièrement, 50 grammes d’amandes grossièrement hachées.  2 à 3 cuillères à soupe de miel.

Préparation

Préservez quelques noisettes  et amandes entières, pour les placer au centre de votre friandise.

Mettez les noix, pistaches, amandes et noisettes dans un bol et écrasés les un peu avec le mortier, pour obtenir un mélange légèrement concassé, en prenant soin de ne pas le réduire en trop petits morceaux.

Mettez les raisins, les dattes les abricots les pruneaux et le miel  dans un robot mixeur, et activez jusqu’à ce que vous obteniez une pâte assez lisse.

Avec une cuillère à café, prélevez un peu de cette pâte, aplatissez-la dans votre paume de main un peu humidifiée, placez y une petite noisette ou une amande et formez une boule en la faisant tourner entre les paumes de vos  mains  Plongez ensuite cette boule un peu collante dans le bol contenant les oléagineux broyés .Mettez ensuite dans uns coupelle, prête à servir. Cette confiserie peut être une variante à la recette avec pommes râpées et cannelle et amandes pour Pessah.

 

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- Jésus donne sa vie

La Semaine Sainte, un mini accordéon de Pâques, à lire et à relire, fait à partir des merveilleux dessins
de Jean-François Kieffer

Facile à réaliser en format A4 ou A3 (plus simple à colorier).

Pour télécharger le PDF à photocopier, cliquer ici

 

 

 

 

 

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- Au chant du coq

Monsieur le coq a chanté trois fois… Et Pierre en a pleuré. Voilà peut-être pourquoi nous voulons le remettre à l’honneur sur nos tables de Pâques, ce fameux coq !?! Voici un bricolage facile pour présenter joliment les œufs au petit déjeuner.
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- Chemin de croix, célébration pour la Passion

Ce culte a été animé en deux temps à la Fondation Sonnenhof. Des adultes et des enfants handicapés y ont participé. Nous avons été impressionnés par tout ce qui s'est dit sans mots quand les participants, handicapés ou non ont pris ou refusé de prendre les épines. Nous avons également été touchés par la manière dont les uns et les autres ont déposésur la croix les objets symboliques reçus en début de célébration .
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- Raconter avec couleurs et formes

Voici une animation expérimentée pour intégrer les enfants dans la narration d’un récit biblique en découvrant avec eux les relations des protagonistes. L’animateur/ l’animatrice propose des formes et des couleurs de base. Au fur et à mesure que l’histoire racontée avance, c’est aux enfants de les adapter pour chaque scène.

 

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- Des pierres qui crient, un cheminement pour la Semaine sainte

 

Pour le temps de Pâques, comme un parcours semé de pierres : « S’ils se taisent, les pierres crieront ! ».Voici une série de petites narrations rapportant les événements des Évangiles au sujet de la semaine de Pâques « J’écoute ».Elles sont accompagnées d’un début de réflexion en lien avec le texte biblique et la vie courante : « je réfléchis ».Enfin, une action est suggérée, laissant libre cours à l’imagination : « j’agis » et qui conduira vers une prière que chacun, chacune peut personnaliser : « je prie ».

 
 

Matériel et préparation

Il faut se procurer six pierres par enfant. Au travers des petits travaux que nous proposons, elles serviront de liens entre tous ces jours particuliers : dimanche des rameaux, jeudi, vendredi, samedi, dimanche de Pâques, lundi de Pâques.
Ce cheminement peut être individuel, il fonctionne aussi très bien avec un groupe d’enfants et pourra être exploité lors d’une célébration.

***
 
Dimanche des rameaux : un joyeux cortège

Narration, « J’écoute »

Sur cette route vers Jérusalem, voilà que Jésus et ses disciples s’approchent d’un village portant le nom de Béthanie. Jésus envoie deux de ses disciples vers le village, chercher un âne qui lui est destiné. Jésus s’assied sur le jeune âne et ils montent la colline vers Jérusalem. Ses amis mettent leurs vêtements sur le dos de l’âne et d’autres osent même les étendre par terre pour en faire comme un tapis devant le cortège. C’est soudain comme une grande fête, et tous se mettent à chanter et à louer à pleins poumons pour tout ce qu’ils ont vu et vécu avec Jésus. Ils crient : »Bénis soit celui qui vient, le roi, au nom du Seigneur ! Paix dans le ciel et gloire au plus haut des cieux ! »D’autres, gênés, veulent faire taire la foule. Alors Jésus dit cette étrange parole : « je vous le dis, si eux se taisent, ce sont les pierres qui crieront. » (D’après l’évangile de Luc, chapitre 19, versets 20 à 39).

« Je réfléchis »

Jésus a pris soin de choisir une monture humble qui parle plutôt de service que de glorieuse victoire. En ces temps-là, beaucoup attendaient quelqu ’un qui les délivre de l’occupation des romains ou d’un pouvoir religieux, quelqu’un, qui serait un roi, un guerrier. Peut-être certains pensent-ils que Jésus a ce pourvoir, mais pour beaucoup d’autres, Jésus est le porte-parole de Dieu, son serviteur, à moins qu’il ne soit…le Fils de Dieu, le Dieu vivant !

« J’agis »

Nous vous proposons de « faire crier les pierres » par la prière ! Choisir six pierres qui plaisent lors d’une promenade ou dans un jardin, plutôt plates, ou bien dessiner six pierres sur du papier épais. Aligner ces pierres comme un chemin, afin qu’elles accompagnent cette semaine. Pour ce dimanche des rameaux, dessiner sur l’une d’elles un feuillage d’un coté et inscrire sur l’autre coté quelque chose qui réjouit le cœur.

« Je prie ».

Voici l’Envoyé de Dieu. Acclamons-le, car il vient pour nous annoncer le Dieu vivant ! Si nous nous taisons, les pierres crieront sa gloire et sa vérité. Seigneur, que nos cœurs de pierre se changent en cœurs vivants et aimants.

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Jeudi saint : l’honneur de servir

Narration : « J’écoute, je lis »

C’est Jeudi soir. Les disciples de Jésus vont manger le repas traditionnel de la Pâque. Il y a des coupes avec du vin, du pain, de la viande d’agneau et des herbes amères. Avant de se mettre à table, tout poussiéreux après leur journée de marche, ils vont se laver les pieds, selon la coutume. Jésus prend une serviette, une cuvette, de l‘eau et commence à laver les pieds de ses disciples. Lorsque Jésus arrive à Pierre, Pierre ne veut pas que son Maitre se baisse devant lui et lui lave les pieds. Il veut, lui, laver les pieds de Jésus. « Mais non ! dit Jésus, c’est moi qui te lave les pieds. Moi je suis venu comme un serviteur. » Puis il revient à table et leur dit : « Voilà, je vous montre l’exemple pour que vous pensiez vous aussi à vous aider, à vous rendre service. Si vous voulez avoir une quelconque importance aux yeux de Dieu, il ne faut pas hésiter à vous rendre service humblement. » Ensuite, ils prennent le repas puis ils partent se reposer dans un jardin. (D’après l’évangile de Jean, chapitre 13)

« Je réfléchis »

Laver les pieds est un geste d’accueil, de reconnaissance et de service. Beaucoup de gens font des choses pour nous, à la maison, à l’école, à l’Eglise…d’autres autour de nous ont sans doute besoin que nous les aidions.

« J’agis »

Quel geste pourrions-nous faire pour rendre service à quelqu’un ? On peut peindre la deuxième pierre en bleu, couleur de l’eau, et écrire sur cette pierre une action que l’on pourrait faire pour quelqu’un, et la réaliser effectivement !

« Je prie »

Seigneur aide-moi à voir celui qui a besoin de moi. Merci Seigneur, parce que tu es venu vivre avec les hommes pour leur parler, pour nous montrer et nous dire comment nous aimer et nous rendre service.

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Vendredi Saint : une mort bouleversante

Narration : « j’écoute, je lis »

C’est dans la nuit du jeudi au vendredi que Jésus est arrêté. Il est jugé par un tribunal romain représenté par Pilate. C’est pourtant le peuple, encouragé par les responsables religieux, qui va le condamner à mort. Ce même vendredi, près de midi, il sera cloué sur la croix.
Mais d’abord il y a une longue et pénible montée vers la colline de l’exécution, celle qu’on appelle Golgotha. Jésus est crucifié avec deux malfaiteurs. Leur supplice est terrible car la mort est très lente. En plein jour, les ténèbres accompagnent leur souffrance jusqu’à trois heures de l’après midi. Jésus pousse son dernier cri d’agonie : »Père, entre tes mains je remets mon esprit. »
Le soldat qui garde les suppliciés est profondément bouleversé .Pour lui, pas de doute, cet homme qui vient de mourir est un juste, un innocent. Les témoins qui sont restés se frappent la poitrine : quelle horreur ! Et s’il était le Fils de Dieu ? (d’après l’évangile de Luc, chapitre 23 versets 33 à 49)

« Je réfléchis »

La mort d’un être cher nous révolte toujours. La mort injuste, la torture et le meurtre sont pires encore. C’est pour cela que la croix reste un symbole pour toute injustice, mais elle parle aussi d’un seul homme, Jésus, mort pour tous les humains. Les Eglises du monde entier ont décidé de lutter contre la violence cette dernière décennie. Les signes de cette action étaient des croix fabriquées avec des anciennes balles de fusil ou des anciens obus.

« J’agis »

Choisir la pierre qui convient pour ce jour particulier. Avec un feutre rouge y dessiner une croix, et sur la croix, avec un feutre noir, inscrire une injustice que l’on souhaite voir disparaitre.

« Je prie »

A tous ceux qui ont de la peine, à tous ceux qui souffrent, à tous ceux qui ont peur, Seigneur tu dis : « Gardez espoir mes amis, ayez confiance en moi. Je suis avec vous, je ne vous abandonne pas. Avec ma mort sur la croix, je vous trace un chemin de vie. »

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Samedi saint : une triste journée

Narration : « j’écoute, je lis »

C’est un jour de grande tristesse. Jésus a été mis dans un tombeau. Tous ses amis sont désespérés. Certains ont des regrets de ne pas l’avoir assez écouté, suivi, de ne pas lui avoir posé toutes les questions qu’ils auraient pu lui poser. D’autres ont des remords de l’avoir abandonné, trahi, renié. C’est un jour de silence, de pleurs. Aucun ne semble se souvenir que Jésus avait annoncé, qu’après sa mort, il reviendrait à la vie. La souffrance les empêche d’espérer. Le soir, quelques femmes, des amies de Jésus, ont préparé des parfums pour aller les répandre sur le corps de Jésus au tombeau dès que le jour se lèvera. Quelle triste journée, quelle triste nuit (d’après l’évangile de Luc, chapitre 23).

« Je réfléchis »

Nous nous souvenons peut être de la mort de quelqu’un que nous aimions beaucoup. Ou bien nous pensons à des amis qui ont un deuil dans leur famille. Nous ne devrions pas faire comme les disciples qui avaient oublié les paroles de Jésus. La mort est terrible, mais elle n’est pas la fin de tout. Il y a une autre vie. Demain, c’est le dimanche de Pâques, jour où Jésus est revenu à la vie.

« Je prie »

Seigneur, merci pour tous les gens qui nous aiment et que nous aimons. Nous te prions de consoler ceux qui ont perdu quelqu’un qu’ils aiment. Nous te demandons de mettre dans nos cœurs une espérance qui éclaire la nuit de la tristesse.

« J’agis »

Demain c’est Pâques, jour de la vie. On peut préparer, ce soir, une belle table pour le petit déjeuner de demain. On peut décorer la maison et installer un arbre de Pâques avec des branches qui bourgeonnent. Colorier un coté de la quatrième pierre d’une couleur qui semble triste et l’autre coté d’une couleur que l’on trouve gaie. Aujourd’hui, samedi, laisser le coté plus triste apparent et demain, retourner la pierre pour exprimer la joie. Les pierres de toute la semaine peuvent faire un chemin de table sur la table ainsi préparée.

***

Dimanche de Pâques : la grande surprise

Narration : « J’écoute, je lis »

Lorsque le soleil se lève, deux des amies de Jésus prennent le chemin du cimetière. L’inquiétude se fait dans leur cœur : « Qui roulera la pierre de l’entrée du tombeau ? » .Elle est en effet trop lourde pour leurs pauvres forces. En arrivant à l’endroit du cimetière, elles lèvent les yeux et voient que la pierre est enlevée. Elles entrent dans le tombeau et s’effrayent d’y trouver, non pas leur ami qui a été crucifié, mais un jeune homme vêtu de blanc, assis exactement à l’endroit où le corps  de Jésus aurait dû reposer. Le jeune homme dit : « Ne vous effrayer pas. Vous cherchez Jésus de Nazareth, le crucifié. Il est ressuscité. Allez dire à Pierre et à ses amis qu’il vous attend en Galilée ».Elles ont de la peine à croire cette étonnante nouvelle et sont très effrayées mais l’espérance de quelque chose de vivant malgré la mort commence à germer dans leur cœur (d’après l’évangile de Marc, chapitre 16, versets 1 à 8).

« Je réfléchis »

La nuit vient de disparaitre mais pas l’horreur d’avoir perdu quelqu’un qu’on a aimé très fort et qui ne viendra plus. Il faut maintenant s’habituer à l’absence. Pour cela, certains s’appuyaient sur des coutumes, comme l’embaumement du corps à l’aide de parfums. Une coutume, encore actuelle, est de s’occuper de la tombe, la fleurir, la décorer. Ce sont des gestes qui permettent de dire son chagrin et de se souvenir. Par ce tombeau vide, Dieu nous invite à regarder ailleurs que vers la seule mort. Les coutumes ne doivent pas nous retenir, mais nous accompagner sur le chemin de l’espérance.

« J’agis »

On peut proposer de peindre un soleil sur une des pierres ou sur les cinq pierres de la semaine. On peut aussi relire le récit en l'accompagnant d’un bruitage à l’aide des pierres de la semaine. Ainsi on imitera les pas des femmes qui crissent sur le gravier du cimetière, leur arrêt stupéfait dans un silence, le bruit d’une pierre plus grosse, plus sonore, qui s’écarte de devant la tombe, leurs pas qui vont dans la tombe, comme si elles descendaient un escalier, solennels et lourds, et enfin le bruit de leurs de pas affolés, rapides, qui sortent du tombeau vide .

« Je prie »

C’est la Pâque pour moi. Le matin où Dieu s’est levé, il a voulu les hommes debout vers la vie. Je suis rempli d’espérance, il me donne un chemin nouveau, l’histoire de ma vie que je peux dessiner et écrire avec lui.

***

Lundi de Pâques : le compagnon inattendu

Narration : « J’écoute, je lis »

Plusieurs de ses amis ont vu Jésus ressuscité et ont parlé avec lui. Alors que d’autres n’y croient pas. Ce lundi, deux de ceux là marchent sur un chemin, encore dans leur tristesse. Quelqu’un les rejoint et commence une conversation.
- Vous avez l’air triste, vous avez un problème ?
- Tu ne sais donc pas que notre ami, Jésus, est mort depuis quatre jours ?
- Ah oui ! Je sais et même je me souviens qu’il avait dit qu’il reviendrait à la vie.
Alors l’homme leur parle de la Bible, de Dieu, de Jésus…Puis ils arrivent à la maison. Et ils entrent. Ils ont faim. Ils sortent du pain de leur sac. L’étranger qui a marché avec eux prend le pain, en coupe un morceau pour chacun et le leur donne. Et là, tout à coup, les deux amis se regardent, ils n’en croient pas leurs yeux : cet homme qui a marché avec eux et qui leur donne le pain, c’est lui, c’est Jésus. Ils ne l’avaient même pas reconnu…
(D’après Luc 24)

Je réfléchis »

Nous aussi parfois nous avons du mal à croire tout ce qu’on nous enseigne à propos de  Jésus. Pourquoi il est mort ? Comment il est ressuscité ? Est ce que nous aussi nous ressusciterons ? Comme ces deux personnes nous avons besoin qu’on nous explique ce que nous dit la Bible.

« J’agis »

On peut écrire sur un des cotés de la sixième pierre une question importante que l’on se pose, ou, si c’est trop long, écrire un mot sur un bout de papier et le glisser sous la pierre. De l’autre coté de la pierre, mettre le nom de la personne à qui on peut aller demander une réponse.

« Je prie »

Seigneur Jésus, nous n’avons pas la chance que tu viennes nous rejoindre sur la route comme tu as rejoint tes amis, mais nous savons que tu es vivant et que tu marches mystérieusement avec nous. Merci de nous donner des personnes qui peuvent nous expliquer ce que nous ne comprenons pas.

 

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- Judas : une interview authentique !

L’auberge dans laquelle j’attends depuis un moment est une de ces nouvelles boutiques à la romaine, avec ses arcades ouvertes à l’angle de deux ruelles, abritant un comptoir. À un bout du comptoir, un espace pour une table et deux bancs, ouvert sur la rue. Derrière le patron, des jarres et amphores de toutes contenances.
Après avoir bu au comptoir un vin de Juda aromatisé aux herbes, j’amène ma cruche et mon bol à la table, les deux employés du Temple qui l’occupaient s’étant levés, après avoir arrosé leur pain et leur fromage d’un petit coup de vin plutôt aigre. (* voir précisions de l'auteur au bas du document)
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- Grain de blé

Amen, amen, je vous le dis, si le grain de blé ne tombe en terre et ne meurt, il demeure seul ; mais s'il meurt, il porte beaucoup de fruit.  Jean 12, 24

Voici quelques eléments d’animation pour aborder le thème de la mort et de la résurrection avec des enfants (7 à 12 ans environ), soit dans un culte, soit dans une démarche catéchétique.

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- Culte des Rameaux


Culte tous-âges

Culte des Rameaux Vandoeuvres

Dimanche 27 mars 1994 à Vandoeuvres

Idée de départ : Se basant sur une importante fréquentation des enfants et de leurs familles aux Rameaux et leur rareté à Pâques, ce culte s'oriente sur une récapitulation de la Semaine Sainte avec une illustration du procès de Jésus.

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